Quelques mots sur mon approche en tant que psychologue du travail en ligne
Quelques mots sur mon approche en tant que psychologue du travail en ligne
Ma vision de l'accompagnement moderne
J’ai souhaité créer un cabinet 100% en ligne pour offrir un espace confortable et sans contraintes de déplacement. L’objectif est aussi de permettre à chacun de suivre ses séances tel qu’il est et ce, depuis un endroit rassurant.
Concernant le programme d’accompagnement que je propose, il s’agit d’un mélange entre outils et techniques des différents domaines de la psychologie ainsi que de la psycho-énergétique. Le travail est orienté sur les pensées/ croyances, les émotions et les sensations. Après chaque séance, je propose des exercices psychologiques et corporels afin de poursuivre le travail au quotidien. Cet aspect de l’accompagnement permet d’acquérir des automatismes et donc des effets durables.
En parallèle de mon activité en cabinet, j’interviens également au sein de différentes structures professionnelles. Cela me permet de garder un pied dans la réalité du monde du travail et d’adapter mon accompagnement.
Ma vision de l'accompagnement
moderne
J’ai souhaité créer un cabinet 100% en ligne pour offrir un espace confortable et sans contraintes de déplacement. L’objectif est aussi de permettre à chacun de suivre ses séances tel qu’il est et ce, depuis un endroit rassurant.
Concernant le programme d’accompagnement que je propose, il s’agit d’un mélange entre outils et techniques des différents domaines de la psychologie ainsi que de la psycho-énergétique. Le travail est orienté sur les pensées/ croyances, les émotions et les sensations. Après chaque séance, je propose des exercices psychologiques et corporels afin de poursuivre le travail au quotidien. Cet aspect de l’accompagnement permet d’acquérir des automatismes et donc des effets durables.
En parallèle de mon activité en cabinet, j’interviens également au sein de différentes structures professionnelles. Cela me permet de garder un pied dans la réalité du monde du travail et d’adapter mon accompagnement.
Quelques mots sur mon parcours
Après cinq années d’études à l’université, j’ai été diplômée psychologue du travail. J’ai toujours été fascinée par les comportements humains et les relations humaines. Très jeune, j’aimais lire entre les lignes et mon entourage soulignait souvent la qualité du soutien que je leur fournissais. Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé analyser les situations et y trouver des solutions.
Ma spécialisation dans le burnout et le surmenage est la suite logique de mon histoire personnelle. En effet, il y a quelques années, j’ai fait un burnout. J’ai eu du mal à m’en remettre. Parce que j’ai laissé traîner. Je ne me suis toujours pas écoutée, j’ai voulu reprendre trop tôt. Et puis après tout, j’avais l’impression d’aller encore plus mal en n’étant pas utile à la société. Rechute après rechute, j’avais honte d’être si “fragile” à un si jeune âge. Cela n’était pas possible et on me le faisait bien comprendre. Je n'étais pas légitime d’être malade, même avec ce que je m’étais infligé. J’étais terrorisée à l’idée de rester dans cet état d’épuisement toute ma vie et de m’être “grillé” le cerveau.
Après de longs mois à essayer de comprendre, d’apprendre et d’expérimenter, je suis finalement tombée sur la dernière pièce qu’il manquait à mon puzzle : la psycho-énergétique.
Quelques mots sur mon parcours
Après cinq années d’études à l’université, j’ai été diplômée psychologue du travail. J’ai toujours été fascinée par les comportements humains et les relations humaines. Très jeune, j’aimais lire entre les lignes et mon entourage soulignait souvent la qualité du soutien que je leur fournissais. Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé analyser les situations et y trouver des solutions.
Ma spécialisation dans le burnout et le surmenage est la suite logique de mon histoire personnelle. En effet, il y a quelques années, j’ai fait un burnout. J’ai eu du mal à m’en remettre. Parce que j’ai laissé traîner. Je ne me suis toujours pas écoutée, j’ai voulu reprendre trop tôt. Et puis après tout, j’avais l’impression d’aller encore plus mal en n’étant pas utile à la société. Rechute après rechute, j’avais honte d’être si “fragile” à un si jeune âge. Cela n’était pas possible et on me le faisait bien comprendre. Je n'étais pas légitime d’être malade, même avec ce que je m’étais infligé. J’étais terrorisée à l’idée de rester dans cet état d’épuisement toute ma vie et de m’être “grillé” le cerveau.
Après de longs mois à essayer de comprendre, d’apprendre et d’expérimenter, je suis finalement tombée sur la dernière pièce qu’il manquait à mon puzzle : la psycho-énergétique.